Réduire la forte pollution en ville reste l’un des grands enjeux de notre époque, surtout face à ses conséquences directes sur le changement climatique. Aujourd’hui plus que jamais, le secteur automobile essaie de s’adapter aux différentes contraintes écologiques. L’hybridation est l’une de ces différentes adaptations.
Les avantages de l’hybridation
L’hybridation est l’une des solutions les plus directes et les plus efficaces que les constructeurs automobiles ont adoptées face aux nouvelles contraintes écologiques. Avec une telle conception, on peut garder un certain équilibre puissance/efficience tout en respectant les nouvelles normes écologiques. En effet, un véhicule hybride a l’avantage de consommer moins de carburant, ce qui signifie qu’elle émet moins de CO2 par rapport aux modèles 100 % thermiques.
L’hybridation, une mesure nécessaire face aux contraintes écologiques ?
De nombreuses décisions stratégiques ont été prises par la commission européenne face à la forte émission de carbone causée par les véhicules thermiques. La première a été d’instaurer un seuil d’émission de carbone pour chaque voiture, ce qui a conduit, dans une certaine mesure, à la fin de production des voitures diesel. Il y a également l’édification du label Crit’Air, qui indique l’indice d’émission de chaque véhicule. L’hybridation est également une solution efficace et qui bat son plein pour respecter les nouvelles contraintes écologiques. Mais la question est de savoir si cela va suffire pour faire face aux défis du « zéro émission » d’ici à 2023.
Faut-il donner la priorité aux voitures électriques ?
Face à la lutte contre le réchauffement climatique et les objectifs en matière de CO2 imposés par la commission européenne, on ne peut que constater l’imperfection de l’hybridation. En effet, ces nouveaux objectifs de zéro émission ne seront atteints qu’avec les voitures 100 % électrique. Ainsi, faudrait-il donner la priorité aux voitures électriques pour les prochaines années ?