Exhaustives, évolutives et souvent spécifiques à chaque catégorie, les obligations règlementaires peuvent devenir un casse-tête pour les responsables des ERP. Cette situation a poussé certains entrepreneurs à développer des outils d’accompagnement et d’automatisation innovants.
Registres digitaux
Depuis que les textes en vigueur concernant la sécurité des ERP et leur accessibilité aux personnes à mobilité réduite autorisent les registres dématérialisés, des prestataires visionnaires comme Lootibox sur https://www.lootibox.com/ ont saisi l’opportunité. Ceux-ci proposent aux ERP la possibilité de créer, de renseigner et de mettre à jour un registre de sécurité incendie et un registre public d’accessibilité (RPA) entièrement en ligne.
La démarche se trouve, en plus, simplifiée et automatisée puisque l’exploitant de l’ERP n’aura qu’à fournir certaines informations et documents en temps utile. Le prestataire se charge de générer, ou maintenir à jour, le registre digitalisé. Dans ce format, le registre public d’accessibilité aux personnes à mobilité réduite sera même consultable par le public sur une tablette, un site web ou sur un smartphone.
Formation en sécurité incendie et gestion des contrôles 100% en ligne
Dans la même logique, d’autres obligations règlementaires comme la formation du personnel à la sécurité incendie sont réalisables, aux normes et avec certification, en e-learning. Les offres les plus complètes couvrent jusqu’à la gestion des contrôles périodiques des équipements et installations des ERP à travers des alertes, un suivi des interventions ou encore l’archivage des documents y afférents.
Grâce à ces outils, les exploitants des ERP parviennent à une meilleure maîtrise des coûts. Les dépenses d’impression, de réimpression après mise à jour, de logistique pour la formation et d’archivage des documents sont, en effet, supprimées. Ils peuvent également se concentrer sur leur cœur de métier. Mais par-dessus tout, ils s’assurent d’une conformité sans faille aux règlementations. Étant donné que les sanctions vont jusqu’à la fermeture de l’établissement et des amendes atteignant 45 000 euros ou un emprisonnement, l’investissement s’avère justifié.